News'Actu #5 : Deus Ex, The Long Dark, PES 2016, équipement

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10 Juin 2014
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Salut à tous, on se retrouve pour un plus grand topic cette fois, consacré à l’actu du jeu vidéo en général, je ne parlerais pas de la Paris Games Week car c’est @Gio’ qui s’en occupe. Dans ce numéro, on va aborder 4 news, un test de jeu et un test d’un équipement que je possède bien sûr, le jeu aussi que je vais vous tester. Aller on commence et je vous souhaite une bonne lecture.

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Adam Jensen résoudra-t-il le confit qui secoue Mankind Divided ? En frontal ou en furtif, voici déjà quelques éléments de réponses.

Sorti en 2011, Deux Ex : Human revolution faisait le pari de remporter un double défi : incarner un digne héritier de l’œuvre initiée par Warren Specto, tout en s’imposant mètre étalon en matière d’action-infiltration. Et si cette épopée fit chavirer les cœurs des amateurs de science-fiction teintée d’écrin cyberpunk, « technologiquement, l‘engin n’avait rien d’impressionnant » confesse toutefois Jonathan Jacques-elletête, responsable de la direction artistique de la franchise. Sa suite directe, Manikind Divided, parviendra-t-elle cette fois à jumeler fond et forme ? C’est ce que je me suis empresser d’aller voir sur la béta fermé du jeu. À même pas cinq mois de la sortie du jeu.

Nous sommes en l’an de grâce 2029. Sur la planète Terre, les tensions entre humains authentiques et augmentés sont à leur paroxysme depuis les tristes événements contés dans HR. Adam Jensen, héros de la série, œuvre désormais pour une force d’intervention mixte d’Interpol. Son but : prévenir et/ou réprimer les menaces terroristes qui planent sur le monde. ¨pur ce faire, notre homme augmenté dispose d’un arsenal varié que nous avons pu jauger au détour de deux destinations d’un Mankind Divided qui devrait assurer questions dépaysement. La première missions noua ainsi invités à déjouer un trafic d’arment au cœur d’un hôtel désaffecté à Doubaï. En guise de prélude, un dialogue interactif avec le cher du commando pour déterminer son mode d’intervention, frontal ou furtif et, de fait, l’attirail approprié. Ce choix a beau n’influer d’aucune façon sur le déroulement du niveau, Mary DeMarie, scénariste en chef de la saga Deus Ex, garantit que « certaines décisions aurotn elle, des répercussions sur la trame dramatique du jeu… ».

En attendant, les augmentations mécaniques d’Adam, d’un chic absolu, permettent bel et bien de sillonner le complexe de différentes façons : blindage magnétique et nano-lame en mode frontal, ou camouflage optique et foulée de ninja en mode furtif. Dommage que ces options tactiques pour le moins grisantes s’avèrent altérées, en l’état, par de regrettables sensations. D’abord, un feedback superficiel : c’est à peine si l’on parvient à ressentir quand nos balles atteignent ou non l’ennemi, ce qui s’est révélé problématique pour l’emploi du fusil tranquillisant. Ensuite, un pathfinding qui inflige quelques entorses au code du jeu d’infiltration : on se surprend parfois à lutter pour effectuer des actions aussi simples que grimer à l’échelle, monter dans un conduit de ventilation. Autant d’à-coups qui ont un peu saccadé la fluidité de l’action au cours de la seconde mission, située à Prague. A sa décharge, Eidos Montréal avait toutefois décliné, en amont de la bétâ, une longue liste de bugs affectant la bêta dans laquelle j’ai pu tester, espérons que le studio arrive à redresser la barre !

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The Long Dark est un jeu de survie qui vous entraine au cœur d’un hiver glacial. Frisions garantis.


The Long Dark est un jeu de survie très ambitieux qui vous place dans la peau d’un pilote d’avion dont d’appareil s’écrase après un orage magnétique. Vous vous réveillez seul, sans aucun équipement, au cœur d’une forêt canadienne en plein hiver. Votre seul but, survire quelques minutes, quelques heures de plus. Pas de zombie, ni de créatures surnaturelles ici, les développeurs de Hinterland veulent créer un jeu de survie plus réaliste qu’à l’habitude. Vous devrez ainsi faire face à une nature déchaînée : plus que les meutes de loups ou les ours que vous croiserez sur votre route, votre plus grand ennemi durant vos pérégrinations restera le froid. Chaque minute passée sous le blizzard voit votre température corporelle chuter. Il vous faut donc chercher le meilleur abri possible et allumer un jeu. Vous devrez également penser à vous sustenter en fouillant vos alentours et en chassant les animaux sauvages. The Long Dark est un jeu indé créé par un jeune studio dont les membres affichent de sacrés pedigrees : Raphael Van Lierop, son réalisateur, a notamment travaillé sur Far Cry 3, Alan Lawrance, était directeur technique chez Volition (Saints Row) et Marianne Krawczyk, scénariste des God of War… De plus, la direction artistique légèrement cartoonesque de The Long Dark finit de lui donner une identité à part, très intrigante. Le jeu, dans son mode bac à sable, est déjà disponible en accès anticipé sur PC et Xbox One. L’aventure solo devrait arriver dans les prochains mois. Préparez les doudounes.

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Gravity Rush 2 devrait permettre à deux joueurs de coopérer contre les forces du mal.


Après un premier volet plutôt bien accueilli et prévu pour un remaster PS4 en février 2016, Gravity Rush aura droit à sa suite, toujours pour 2016, uniquement su PS4, elle. Une belle surprise pour ce titre original par son gameplay et qui avait fait parler de lui pour son casting de créateurs, mais aussi pour son esthétique bande dessinée fortement inspirée du dessinateur Moebius. Très proche visuellement du premier épisode, ce deuxième volet devrait surtout mettre en avant la coopération à deux joueurs, un second personnage féminine accompagnant l’héroïne de la série, Kat. Comme son titre l’indique, il s’agit pour le joueur de… jouer avec la gravité, s’élançant sur les murs, dévalant sur les parois verticales pour mieux frapper de ses poings et pieds. Là oèu certaines remakes questionnent sur leur nécessité, celui de Gravity Rush ainsi que cette suite visiblement très semblable déboulent à point nommé pour rappeler que, non seulement, que le jeu vidéo japonais n’est pas mort, mais qu’il cultive toujours cet art du « faire autrement » qui manque parfois cruellement à la production occidentale.

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Ubisoft a surpris son monde et annoncé Far Cry Primal qui se déroule à l’âge de pierre. Sortez les peaux de cerfs, les couteaux en silex… La chasse au mammouth est ouverte !


C’est au terme d’un teasing éclair qu'Ubisolf a révélé un tout nouveau Far Cry. Le titre, développé par Ubisoft Montréal, est n » d’une idée de quelques développeurs qui souhaitaient transposer l’expérience Far Cry dans un tout nouveau terrain de jeu. On y remonte donc les pendules de 2,5 millions d’années pour revenir aux origines de l’humanité. Vous incarnez Takkar, un chasseur, seul survivant de sa tribu, qui après une longue errance, découvre la vallée d’Oros. Là, il va lui falloir explorer des grottes primitives, des forêts de conifères séculaires, des falaises enneigées battues par les vents. A cette époque, l’homme est en bas de la chaîne alimentaire, il est, lui aussi, chassé. Takkar devra donc apprendre à survire.

D’abord, en faisant face aux nombreuses menaces du monde sauvage qui l’entoure. Il devra ainsi collecter des matières premières, bois, ossements et peaux d’animaux pour se confectionner différent types d’armes : masse os, coutelas, diverses lances et, bien entendu, un arc, arme signature de la série. En plus des cerfs er meutes de loups. Takkar fera également face à la « mégafaune » ; prédateurs monstrueux parmi lesquels les tigres à dent de sabre et les iconiques mammouths, qui règnent en maître sur la vallée. En progressant dans le jeu, Takkar créera sa propre tribu qu’il lui faudra protéger et faire prospérer. Mais il ‘opposera aussi à d’autres ennemis, tribus adverses, cannibales et hostiles.

Si, sur le papier, Far Cry Primal pourrait rebuter les amateurs de la série, attaché à la diversité des équipements et armes notamment disponible, la parie d’Ubisoft pourrait s’avérer payant selon moi, avec un jeu clairement orienté vers la survie et la chasse. On sent bien le soin que semblent avoir mis les équipes de Montréal à créer un écosystème riche et vivant. Ainsi, si vous traquez une proie blessée trop longtemps, elle attirera d’autres prédateurs. Ey avec le cercle jour-nuit, vous devrez veiller, un jeu à la Dying Light, à ne pas vous promener en forêt la nuit venue pour éviter les mauvaises rencontres. Le jeu devrait également remettre en avant le jeu, comme dans Far Cry 3, puisque son usage permettra à la fois d’enflammer ses armes, d’acculer ses ennemis mais aussi de tenir certains prédateurs à l’écart. Hâte de vous lancer dans la Guerre du Feu ? Vous n’aurez pas longtemps à attendre car Far Cry Primal sortira le 23 février 2016 !

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Voici son trailler officiel :


Vous devez être inscrit pour voir les médias


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On passe maintenant au test du jeu, qui en sera un assez basique mais voilà, c’est mieux d’en faire un assez court pour vous je pense.


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Pour son vingtième anniversaire, le football made in Konami nous fait un cadeau : un récital de simulation « à l’ancienne », aussi plaisant que fluide.


En 1995, sortait Winning Eleven sur PlayStation au Japon, connu sous le titre de Goal Storm chez nous. Il faudra en fait attendre le quatrième volet, rebaptisé ISS Pro Evolution dans nos contrées, pour que la carrière du futur PES commence, balbutie. Jusqu’à atteindre son paroxysme sur PlayStation 2, devenant le jeu de foot favori de toute une génération, offrant un récital aux amateurs de ballon rond chaque année, face à un Fifa exsangue. Depuis, le rapport e force s’est inversé, mais Konami opère un retour depuis l’an dernier, avec une arrivée sur nouvelle génération assortie de belle ambitions : renouer avec ce qui faisait de PES un titre à part, en lui redonnant ce qu’il avait perdu depuis quelques années auparavant à savoir son âme. Et l’âme d’un titre que celui-ci, il ne faut pas la chercher dans les licences, toujours aussi cruellement peu nombreuses ou prestigieuses, Champions League mise à part, mais bien sur le terrain.

Depuis PES 2015, le nombre d’animations a été triplé par l’équipe de développement. Un travail colossal, qui se traduit dès les premiers contacts avec le cuir par une sensation de fluidité retrouvée, une circulation de balle joyeuse, qui donne envie de se donner à fond pour l’emporter et progresses. Les duels sont très physiques, le pressing monstrueux, d’autant plus que l’arbitre brille par son absence d’implication : il faut vraiment chercher le carton pour le trouver, et les scandales ne manquent pas. Et si les tacles ont retrouvé vigueur et dynamisme, ce sont tous les compartiments du jeu qui ont été ainsi reboostés. Les appels sont désormais gérés par l’intelligence artificielle, plus besoin d’effectuer des une-deux ou des appels manuels. Les duels aériens sur les têtes jouent tant sur le timing que le gabarit des joueurs. Tout le milleu de terrain garde son aspect essentiel, avec une construction qui débloque plus facilement la situation que les sempiternels dribles à la brésilienne.

Des progrès quasiment partout, oui, mais aussi des lacunes, toujours. Ainsi, si les frappes gardent un aspect jouissif, car aussi franches que lourdes, elles soulignent les errances d’un gardien pas toujours irréprochable, notamment sur les fameuses frappes enroulées. Il y a quelques choses dans ce PES de mécanique, qui fait qu’après quelques matchs, on a l’impression, pas forcément désagréable, de manquer d’aléatoire de reproduire les mêmes actions.

Du côté des modes, Konami à essayer de relancer sa Master Légué, vieillissante mais on regrette que toutes les compétitions n’ai pas subit le même coup de jeune. La gestion tactique et des effectifs s’effectuent toujours via ce système un peu lourd, utilisant =désormais du glisser-déposer pour faire bouger la position de joueurs. Pratique sur ce plan, et seulement sur ce plan. Côté licences et sons, c’est toujours aussi triste : voir un match de Premier League avec deux équipes sans vrais om ni vrais maillots, commenté par un Darren Tulett et un Grégoire Margotton insupportables de répétitivité et d’approximations (à cause des scripts impos »s par le jeu), ça fatigue. Mais, tous ces défauts nous rappellent aussi l’époque d’un PES roi, où l’on pardonnait tout pour l'amour du beau jeu. Après quelques actions de classe, la découverte d'animations étonnantes de réalisme et d'à-propos, on enchaîne les matchs jusqu'au bout de la nuit, comme lorsque PES animait seul les soirées pizza-foot. Cette année, on peut l’affirmer : PES est bien revenu, même s’il lui reste beaucoup à faire pour tacler un Fifa au budget et aux ambitions sans égal.


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Logitech vise le haut de gamme avec la retouche de son modèle G27 et atteint largement sa cible. Lors de l’installation, nous sommes d’emblée rassurés par le poids du produit, les fixations solides, les finitions cuir et les palettes en aluminium. L’ensemble donne une impression de solidité autant sur les matières utilisées que sur leur capacité à résister à mes assauts. Je l’ai testé sur PlayStation 4 avec Drive Club et Project Cars. L’un des points positifs est qu’il ne fait pas plus d’une seconde pour qu’il soit reconnu par la machine et prêt pour la première couse. De l’excellent plug and play, ce qui est loin d’être le cas !

Enfin, sur une poste, les sensations sont immédiates. Le pédalier oppose une résistance différente sur les pédales de frein, d’accélération et d’embrayage et on peut appuyer franchement sans tout faire reculer de 10 centimètres. Le volant offre une telle précision que les trajectoires s’effectuent au millimètre. En somme, il ne manque que le casque et la peur de se briser tous les os au premier virage pour vivre la course à fond. Le retour de force, laissé à 100% de ses capacités lors de nos essais, nous a semblé un peu brutal, mais, là encore ; Logitech a fait du bon travail tant il fait ressentir les aspérités de la route et la parte d’adhérence du véhicule. Un excellent produit !

Le prix est de 399€


Les + : D’excellentes sensations de course, un produits solide et bien conçu, réellement plug & play, compatible PS4, PS3, PC.


Les - : Pas facile à installer sur la table basse du salon, et un siège baquet coute cher et prend de la place. Le levier de vitesse en option est à 60€.



Donc voilà c’est la fin de ce topic, j’espère qu’il vous aura plus et moi je vous dis à la prochaine, gros bisous :hug:
 

Bibi GTP

GTP Nxt 🚀
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28 Septembre 2015
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Salut à tous, on se retrouve pour un plus grand topic cette fois, consacré à l’actu du jeu vidéo en général, je ne parlerais pas de la Paris Games Week car c’est @Gio’ qui s’en occupe. Dans ce numéro, on va aborder 4 news, un test de jeu et un test d’un équipement que je possède bien sûr, le jeu aussi que je vais vous tester. Aller on commence et je vous souhaite une bonne lecture.

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Adam Jensen résoudra-t-il le confit qui secoue Mankind Divided ? En frontal ou en furtif, voici déjà quelques éléments de réponses.

Sorti en 2011, Deux Ex : Human revolution faisait le pari de remporter un double défi : incarner un digne héritier de l’œuvre initiée par Warren Specto, tout en s’imposant mètre étalon en matière d’action-infiltration. Et si cette épopée fit chavirer les cœurs des amateurs de science-fiction teintée d’écrin cyberpunk, « technologiquement, l‘engin n’avait rien d’impressionnant » confesse toutefois Jonathan Jacques-elletête, responsable de la direction artistique de la franchise. Sa suite directe, Manikind Divided, parviendra-t-elle cette fois à jumeler fond et forme ? C’est ce que je me suis empresser d’aller voir sur la béta fermé du jeu. À même pas cinq mois de la sortie du jeu.

Nous sommes en l’an de grâce 2029. Sur la planète Terre, les tensions entre humains authentiques et augmentés sont à leur paroxysme depuis les tristes événements contés dans HR. Adam Jensen, héros de la série, œuvre désormais pour une force d’intervention mixte d’Interpol. Son but : prévenir et/ou réprimer les menaces terroristes qui planent sur le monde. ¨pur ce faire, notre homme augmenté dispose d’un arsenal varié que nous avons pu jauger au détour de deux destinations d’un Mankind Divided qui devrait assurer questions dépaysement. La première missions noua ainsi invités à déjouer un trafic d’arment au cœur d’un hôtel désaffecté à Doubaï. En guise de prélude, un dialogue interactif avec le cher du commando pour déterminer son mode d’intervention, frontal ou furtif et, de fait, l’attirail approprié. Ce choix a beau n’influer d’aucune façon sur le déroulement du niveau, Mary DeMarie, scénariste en chef de la saga Deus Ex, garantit que « certaines décisions aurotn elle, des répercussions sur la trame dramatique du jeu… ».

En attendant, les augmentations mécaniques d’Adam, d’un chic absolu, permettent bel et bien de sillonner le complexe de différentes façons : blindage magnétique et nano-lame en mode frontal, ou camouflage optique et foulée de ninja en mode furtif. Dommage que ces options tactiques pour le moins grisantes s’avèrent altérées, en l’état, par de regrettables sensations. D’abord, un feedback superficiel : c’est à peine si l’on parvient à ressentir quand nos balles atteignent ou non l’ennemi, ce qui s’est révélé problématique pour l’emploi du fusil tranquillisant. Ensuite, un pathfinding qui inflige quelques entorses au code du jeu d’infiltration : on se surprend parfois à lutter pour effectuer des actions aussi simples que grimer à l’échelle, monter dans un conduit de ventilation. Autant d’à-coups qui ont un peu saccadé la fluidité de l’action au cours de la seconde mission, située à Prague. A sa décharge, Eidos Montréal avait toutefois décliné, en amont de la bétâ, une longue liste de bugs affectant la bêta dans laquelle j’ai pu tester, espérons que le studio arrive à redresser la barre !

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The Long Dark est un jeu de survie qui vous entraine au cœur d’un hiver glacial. Frisions garantis.


The Long Dark est un jeu de survie très ambitieux qui vous place dans la peau d’un pilote d’avion dont d’appareil s’écrase après un orage magnétique. Vous vous réveillez seul, sans aucun équipement, au cœur d’une forêt canadienne en plein hiver. Votre seul but, survire quelques minutes, quelques heures de plus. Pas de zombie, ni de créatures surnaturelles ici, les développeurs de Hinterland veulent créer un jeu de survie plus réaliste qu’à l’habitude. Vous devrez ainsi faire face à une nature déchaînée : plus que les meutes de loups ou les ours que vous croiserez sur votre route, votre plus grand ennemi durant vos pérégrinations restera le froid. Chaque minute passée sous le blizzard voit votre température corporelle chuter. Il vous faut donc chercher le meilleur abri possible et allumer un jeu. Vous devrez également penser à vous sustenter en fouillant vos alentours et en chassant les animaux sauvages. The Long Dark est un jeu indé créé par un jeune studio dont les membres affichent de sacrés pedigrees : Raphael Van Lierop, son réalisateur, a notamment travaillé sur Far Cry 3, Alan Lawrance, était directeur technique chez Volition (Saints Row) et Marianne Krawczyk, scénariste des God of War… De plus, la direction artistique légèrement cartoonesque de The Long Dark finit de lui donner une identité à part, très intrigante. Le jeu, dans son mode bac à sable, est déjà disponible en accès anticipé sur PC et Xbox One. L’aventure solo devrait arriver dans les prochains mois. Préparez les doudounes.

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Gravity Rush 2 devrait permettre à deux joueurs de coopérer contre les forces du mal.


Après un premier volet plutôt bien accueilli et prévu pour un remaster PS4 en février 2016, Gravity Rush aura droit à sa suite, toujours pour 2016, uniquement su PS4, elle. Une belle surprise pour ce titre original par son gameplay et qui avait fait parler de lui pour son casting de créateurs, mais aussi pour son esthétique bande dessinée fortement inspirée du dessinateur Moebius. Très proche visuellement du premier épisode, ce deuxième volet devrait surtout mettre en avant la coopération à deux joueurs, un second personnage féminine accompagnant l’héroïne de la série, Kat. Comme son titre l’indique, il s’agit pour le joueur de… jouer avec la gravité, s’élançant sur les murs, dévalant sur les parois verticales pour mieux frapper de ses poings et pieds. Là oèu certaines remakes questionnent sur leur nécessité, celui de Gravity Rush ainsi que cette suite visiblement très semblable déboulent à point nommé pour rappeler que, non seulement, que le jeu vidéo japonais n’est pas mort, mais qu’il cultive toujours cet art du « faire autrement » qui manque parfois cruellement à la production occidentale.

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Ubisoft a surpris son monde et annoncé Far Cry Primal qui se déroule à l’âge de pierre. Sortez les peaux de cerfs, les couteaux en silex… La chasse au mammouth est ouverte !


C’est au terme d’un teasing éclair qu'Ubisolf a révélé un tout nouveau Far Cry. Le titre, développé par Ubisoft Montréal, est n » d’une idée de quelques développeurs qui souhaitaient transposer l’expérience Far Cry dans un tout nouveau terrain de jeu. On y remonte donc les pendules de 2,5 millions d’années pour revenir aux origines de l’humanité. Vous incarnez Takkar, un chasseur, seul survivant de sa tribu, qui après une longue errance, découvre la vallée d’Oros. Là, il va lui falloir explorer des grottes primitives, des forêts de conifères séculaires, des falaises enneigées battues par les vents. A cette époque, l’homme est en bas de la chaîne alimentaire, il est, lui aussi, chassé. Takkar devra donc apprendre à survire.

D’abord, en faisant face aux nombreuses menaces du monde sauvage qui l’entoure. Il devra ainsi collecter des matières premières, bois, ossements et peaux d’animaux pour se confectionner différent types d’armes : masse os, coutelas, diverses lances et, bien entendu, un arc, arme signature de la série. En plus des cerfs er meutes de loups. Takkar fera également face à la « mégafaune » ; prédateurs monstrueux parmi lesquels les tigres à dent de sabre et les iconiques mammouths, qui règnent en maître sur la vallée. En progressant dans le jeu, Takkar créera sa propre tribu qu’il lui faudra protéger et faire prospérer. Mais il ‘opposera aussi à d’autres ennemis, tribus adverses, cannibales et hostiles.

Si, sur le papier, Far Cry Primal pourrait rebuter les amateurs de la série, attaché à la diversité des équipements et armes notamment disponible, la parie d’Ubisoft pourrait s’avérer payant selon moi, avec un jeu clairement orienté vers la survie et la chasse. On sent bien le soin que semblent avoir mis les équipes de Montréal à créer un écosystème riche et vivant. Ainsi, si vous traquez une proie blessée trop longtemps, elle attirera d’autres prédateurs. Ey avec le cercle jour-nuit, vous devrez veiller, un jeu à la Dying Light, à ne pas vous promener en forêt la nuit venue pour éviter les mauvaises rencontres. Le jeu devrait également remettre en avant le jeu, comme dans Far Cry 3, puisque son usage permettra à la fois d’enflammer ses armes, d’acculer ses ennemis mais aussi de tenir certains prédateurs à l’écart. Hâte de vous lancer dans la Guerre du Feu ? Vous n’aurez pas longtemps à attendre car Far Cry Primal sortira le 23 février 2016 !

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Voici son trailler officiel :


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On passe maintenant au test du jeu, qui en sera un assez basique mais voilà, c’est mieux d’en faire un assez court pour vous je pense.


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Pour son vingtième anniversaire, le football made in Konami nous fait un cadeau : un récital de simulation « à l’ancienne », aussi plaisant que fluide.


En 1995, sortait Winning Eleven sur PlayStation au Japon, connu sous le titre de Goal Storm chez nous. Il faudra en fait attendre le quatrième volet, rebaptisé ISS Pro Evolution dans nos contrées, pour que la carrière du futur PES commence, balbutie. Jusqu’à atteindre son paroxysme sur PlayStation 2, devenant le jeu de foot favori de toute une génération, offrant un récital aux amateurs de ballon rond chaque année, face à un Fifa exsangue. Depuis, le rapport e force s’est inversé, mais Konami opère un retour depuis l’an dernier, avec une arrivée sur nouvelle génération assortie de belle ambitions : renouer avec ce qui faisait de PES un titre à part, en lui redonnant ce qu’il avait perdu depuis quelques années auparavant à savoir son âme. Et l’âme d’un titre que celui-ci, il ne faut pas la chercher dans les licences, toujours aussi cruellement peu nombreuses ou prestigieuses, Champions League mise à part, mais bien sur le terrain.

Depuis PES 2015, le nombre d’animations a été triplé par l’équipe de développement. Un travail colossal, qui se traduit dès les premiers contacts avec le cuir par une sensation de fluidité retrouvée, une circulation de balle joyeuse, qui donne envie de se donner à fond pour l’emporter et progresses. Les duels sont très physiques, le pressing monstrueux, d’autant plus que l’arbitre brille par son absence d’implication : il faut vraiment chercher le carton pour le trouver, et les scandales ne manquent pas. Et si les tacles ont retrouvé vigueur et dynamisme, ce sont tous les compartiments du jeu qui ont été ainsi reboostés. Les appels sont désormais gérés par l’intelligence artificielle, plus besoin d’effectuer des une-deux ou des appels manuels. Les duels aériens sur les têtes jouent tant sur le timing que le gabarit des joueurs. Tout le milleu de terrain garde son aspect essentiel, avec une construction qui débloque plus facilement la situation que les sempiternels dribles à la brésilienne.

Des progrès quasiment partout, oui, mais aussi des lacunes, toujours. Ainsi, si les frappes gardent un aspect jouissif, car aussi franches que lourdes, elles soulignent les errances d’un gardien pas toujours irréprochable, notamment sur les fameuses frappes enroulées. Il y a quelques choses dans ce PES de mécanique, qui fait qu’après quelques matchs, on a l’impression, pas forcément désagréable, de manquer d’aléatoire de reproduire les mêmes actions.

Du côté des modes, Konami à essayer de relancer sa Master Légué, vieillissante mais on regrette que toutes les compétitions n’ai pas subit le même coup de jeune. La gestion tactique et des effectifs s’effectuent toujours via ce système un peu lourd, utilisant =désormais du glisser-déposer pour faire bouger la position de joueurs. Pratique sur ce plan, et seulement sur ce plan. Côté licences et sons, c’est toujours aussi triste : voir un match de Premier League avec deux équipes sans vrais om ni vrais maillots, commenté par un Darren Tulett et un Grégoire Margotton insupportables de répétitivité et d’approximations (à cause des scripts impos »s par le jeu), ça fatigue. Mais, tous ces défauts nous rappellent aussi l’époque d’un PES roi, où l’on pardonnait tout pour l'amour du beau jeu. Après quelques actions de classe, la découverte d'animations étonnantes de réalisme et d'à-propos, on enchaîne les matchs jusqu'au bout de la nuit, comme lorsque PES animait seul les soirées pizza-foot. Cette année, on peut l’affirmer : PES est bien revenu, même s’il lui reste beaucoup à faire pour tacler un Fifa au budget et aux ambitions sans égal.


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Logitech vise le haut de gamme avec la retouche de son modèle G27 et atteint largement sa cible. Lors de l’installation, nous sommes d’emblée rassurés par le poids du produit, les fixations solides, les finitions cuir et les palettes en aluminium. L’ensemble donne une impression de solidité autant sur les matières utilisées que sur leur capacité à résister à mes assauts. Je l’ai testé sur PlayStation 4 avec Drive Club et Project Cars. L’un des points positifs est qu’il ne fait pas plus d’une seconde pour qu’il soit reconnu par la machine et prêt pour la première couse. De l’excellent plug and play, ce qui est loin d’être le cas !

Enfin, sur une poste, les sensations sont immédiates. Le pédalier oppose une résistance différente sur les pédales de frein, d’accélération et d’embrayage et on peut appuyer franchement sans tout faire reculer de 10 centimètres. Le volant offre une telle précision que les trajectoires s’effectuent au millimètre. En somme, il ne manque que le casque et la peur de se briser tous les os au premier virage pour vivre la course à fond. Le retour de force, laissé à 100% de ses capacités lors de nos essais, nous a semblé un peu brutal, mais, là encore ; Logitech a fait du bon travail tant il fait ressentir les aspérités de la route et la parte d’adhérence du véhicule. Un excellent produit !

Le prix est de 399€


Les + : D’excellentes sensations de course, un produits solide et bien conçu, réellement plug & play, compatible PS4, PS3, PC.


Les - : Pas facile à installer sur la table basse du salon, et un siège baquet coute cher et prend de la place. Le levier de vitesse en option est à 60€.



Donc voilà c’est la fin de ce topic, j’espère qu’il vous aura plus et moi je vous dis à la prochaine, gros bisous :hug:
Superbe topic, mais tu as fail dans le titre et dans le header... c'est PES 2016 et pas 2015 :$
 

Kavage

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Good job, récompense entièrement méritée. :)
 

xRwizz

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Salut à tous, on se retrouve pour un plus grand topic cette fois, consacré à l’actu du jeu vidéo en général, je ne parlerais pas de la Paris Games Week car c’est @Gio’ qui s’en occupe. Dans ce numéro, on va aborder 4 news, un test de jeu et un test d’un équipement que je possède bien sûr, le jeu aussi que je vais vous tester. Aller on commence et je vous souhaite une bonne lecture.

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Adam Jensen résoudra-t-il le confit qui secoue Mankind Divided ? En frontal ou en furtif, voici déjà quelques éléments de réponses.

Sorti en 2011, Deux Ex : Human revolution faisait le pari de remporter un double défi : incarner un digne héritier de l’œuvre initiée par Warren Specto, tout en s’imposant mètre étalon en matière d’action-infiltration. Et si cette épopée fit chavirer les cœurs des amateurs de science-fiction teintée d’écrin cyberpunk, « technologiquement, l‘engin n’avait rien d’impressionnant » confesse toutefois Jonathan Jacques-elletête, responsable de la direction artistique de la franchise. Sa suite directe, Manikind Divided, parviendra-t-elle cette fois à jumeler fond et forme ? C’est ce que je me suis empresser d’aller voir sur la béta fermé du jeu. À même pas cinq mois de la sortie du jeu.

Nous sommes en l’an de grâce 2029. Sur la planète Terre, les tensions entre humains authentiques et augmentés sont à leur paroxysme depuis les tristes événements contés dans HR. Adam Jensen, héros de la série, œuvre désormais pour une force d’intervention mixte d’Interpol. Son but : prévenir et/ou réprimer les menaces terroristes qui planent sur le monde. ¨pur ce faire, notre homme augmenté dispose d’un arsenal varié que nous avons pu jauger au détour de deux destinations d’un Mankind Divided qui devrait assurer questions dépaysement. La première missions noua ainsi invités à déjouer un trafic d’arment au cœur d’un hôtel désaffecté à Doubaï. En guise de prélude, un dialogue interactif avec le cher du commando pour déterminer son mode d’intervention, frontal ou furtif et, de fait, l’attirail approprié. Ce choix a beau n’influer d’aucune façon sur le déroulement du niveau, Mary DeMarie, scénariste en chef de la saga Deus Ex, garantit que « certaines décisions aurotn elle, des répercussions sur la trame dramatique du jeu… ».

En attendant, les augmentations mécaniques d’Adam, d’un chic absolu, permettent bel et bien de sillonner le complexe de différentes façons : blindage magnétique et nano-lame en mode frontal, ou camouflage optique et foulée de ninja en mode furtif. Dommage que ces options tactiques pour le moins grisantes s’avèrent altérées, en l’état, par de regrettables sensations. D’abord, un feedback superficiel : c’est à peine si l’on parvient à ressentir quand nos balles atteignent ou non l’ennemi, ce qui s’est révélé problématique pour l’emploi du fusil tranquillisant. Ensuite, un pathfinding qui inflige quelques entorses au code du jeu d’infiltration : on se surprend parfois à lutter pour effectuer des actions aussi simples que grimer à l’échelle, monter dans un conduit de ventilation. Autant d’à-coups qui ont un peu saccadé la fluidité de l’action au cours de la seconde mission, située à Prague. A sa décharge, Eidos Montréal avait toutefois décliné, en amont de la bétâ, une longue liste de bugs affectant la bêta dans laquelle j’ai pu tester, espérons que le studio arrive à redresser la barre !

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The Long Dark est un jeu de survie qui vous entraine au cœur d’un hiver glacial. Frisions garantis.


The Long Dark est un jeu de survie très ambitieux qui vous place dans la peau d’un pilote d’avion dont d’appareil s’écrase après un orage magnétique. Vous vous réveillez seul, sans aucun équipement, au cœur d’une forêt canadienne en plein hiver. Votre seul but, survire quelques minutes, quelques heures de plus. Pas de zombie, ni de créatures surnaturelles ici, les développeurs de Hinterland veulent créer un jeu de survie plus réaliste qu’à l’habitude. Vous devrez ainsi faire face à une nature déchaînée : plus que les meutes de loups ou les ours que vous croiserez sur votre route, votre plus grand ennemi durant vos pérégrinations restera le froid. Chaque minute passée sous le blizzard voit votre température corporelle chuter. Il vous faut donc chercher le meilleur abri possible et allumer un jeu. Vous devrez également penser à vous sustenter en fouillant vos alentours et en chassant les animaux sauvages. The Long Dark est un jeu indé créé par un jeune studio dont les membres affichent de sacrés pedigrees : Raphael Van Lierop, son réalisateur, a notamment travaillé sur Far Cry 3, Alan Lawrance, était directeur technique chez Volition (Saints Row) et Marianne Krawczyk, scénariste des God of War… De plus, la direction artistique légèrement cartoonesque de The Long Dark finit de lui donner une identité à part, très intrigante. Le jeu, dans son mode bac à sable, est déjà disponible en accès anticipé sur PC et Xbox One. L’aventure solo devrait arriver dans les prochains mois. Préparez les doudounes.

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Gravity Rush 2 devrait permettre à deux joueurs de coopérer contre les forces du mal.


Après un premier volet plutôt bien accueilli et prévu pour un remaster PS4 en février 2016, Gravity Rush aura droit à sa suite, toujours pour 2016, uniquement su PS4, elle. Une belle surprise pour ce titre original par son gameplay et qui avait fait parler de lui pour son casting de créateurs, mais aussi pour son esthétique bande dessinée fortement inspirée du dessinateur Moebius. Très proche visuellement du premier épisode, ce deuxième volet devrait surtout mettre en avant la coopération à deux joueurs, un second personnage féminine accompagnant l’héroïne de la série, Kat. Comme son titre l’indique, il s’agit pour le joueur de… jouer avec la gravité, s’élançant sur les murs, dévalant sur les parois verticales pour mieux frapper de ses poings et pieds. Là oèu certaines remakes questionnent sur leur nécessité, celui de Gravity Rush ainsi que cette suite visiblement très semblable déboulent à point nommé pour rappeler que, non seulement, que le jeu vidéo japonais n’est pas mort, mais qu’il cultive toujours cet art du « faire autrement » qui manque parfois cruellement à la production occidentale.

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Ubisoft a surpris son monde et annoncé Far Cry Primal qui se déroule à l’âge de pierre. Sortez les peaux de cerfs, les couteaux en silex… La chasse au mammouth est ouverte !


C’est au terme d’un teasing éclair qu'Ubisolf a révélé un tout nouveau Far Cry. Le titre, développé par Ubisoft Montréal, est n » d’une idée de quelques développeurs qui souhaitaient transposer l’expérience Far Cry dans un tout nouveau terrain de jeu. On y remonte donc les pendules de 2,5 millions d’années pour revenir aux origines de l’humanité. Vous incarnez Takkar, un chasseur, seul survivant de sa tribu, qui après une longue errance, découvre la vallée d’Oros. Là, il va lui falloir explorer des grottes primitives, des forêts de conifères séculaires, des falaises enneigées battues par les vents. A cette époque, l’homme est en bas de la chaîne alimentaire, il est, lui aussi, chassé. Takkar devra donc apprendre à survire.

D’abord, en faisant face aux nombreuses menaces du monde sauvage qui l’entoure. Il devra ainsi collecter des matières premières, bois, ossements et peaux d’animaux pour se confectionner différent types d’armes : masse os, coutelas, diverses lances et, bien entendu, un arc, arme signature de la série. En plus des cerfs er meutes de loups. Takkar fera également face à la « mégafaune » ; prédateurs monstrueux parmi lesquels les tigres à dent de sabre et les iconiques mammouths, qui règnent en maître sur la vallée. En progressant dans le jeu, Takkar créera sa propre tribu qu’il lui faudra protéger et faire prospérer. Mais il ‘opposera aussi à d’autres ennemis, tribus adverses, cannibales et hostiles.

Si, sur le papier, Far Cry Primal pourrait rebuter les amateurs de la série, attaché à la diversité des équipements et armes notamment disponible, la parie d’Ubisoft pourrait s’avérer payant selon moi, avec un jeu clairement orienté vers la survie et la chasse. On sent bien le soin que semblent avoir mis les équipes de Montréal à créer un écosystème riche et vivant. Ainsi, si vous traquez une proie blessée trop longtemps, elle attirera d’autres prédateurs. Ey avec le cercle jour-nuit, vous devrez veiller, un jeu à la Dying Light, à ne pas vous promener en forêt la nuit venue pour éviter les mauvaises rencontres. Le jeu devrait également remettre en avant le jeu, comme dans Far Cry 3, puisque son usage permettra à la fois d’enflammer ses armes, d’acculer ses ennemis mais aussi de tenir certains prédateurs à l’écart. Hâte de vous lancer dans la Guerre du Feu ? Vous n’aurez pas longtemps à attendre car Far Cry Primal sortira le 23 février 2016 !

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Voici son trailler officiel :


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On passe maintenant au test du jeu, qui en sera un assez basique mais voilà, c’est mieux d’en faire un assez court pour vous je pense.


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Pour son vingtième anniversaire, le football made in Konami nous fait un cadeau : un récital de simulation « à l’ancienne », aussi plaisant que fluide.


En 1995, sortait Winning Eleven sur PlayStation au Japon, connu sous le titre de Goal Storm chez nous. Il faudra en fait attendre le quatrième volet, rebaptisé ISS Pro Evolution dans nos contrées, pour que la carrière du futur PES commence, balbutie. Jusqu’à atteindre son paroxysme sur PlayStation 2, devenant le jeu de foot favori de toute une génération, offrant un récital aux amateurs de ballon rond chaque année, face à un Fifa exsangue. Depuis, le rapport e force s’est inversé, mais Konami opère un retour depuis l’an dernier, avec une arrivée sur nouvelle génération assortie de belle ambitions : renouer avec ce qui faisait de PES un titre à part, en lui redonnant ce qu’il avait perdu depuis quelques années auparavant à savoir son âme. Et l’âme d’un titre que celui-ci, il ne faut pas la chercher dans les licences, toujours aussi cruellement peu nombreuses ou prestigieuses, Champions League mise à part, mais bien sur le terrain.

Depuis PES 2015, le nombre d’animations a été triplé par l’équipe de développement. Un travail colossal, qui se traduit dès les premiers contacts avec le cuir par une sensation de fluidité retrouvée, une circulation de balle joyeuse, qui donne envie de se donner à fond pour l’emporter et progresses. Les duels sont très physiques, le pressing monstrueux, d’autant plus que l’arbitre brille par son absence d’implication : il faut vraiment chercher le carton pour le trouver, et les scandales ne manquent pas. Et si les tacles ont retrouvé vigueur et dynamisme, ce sont tous les compartiments du jeu qui ont été ainsi reboostés. Les appels sont désormais gérés par l’intelligence artificielle, plus besoin d’effectuer des une-deux ou des appels manuels. Les duels aériens sur les têtes jouent tant sur le timing que le gabarit des joueurs. Tout le milleu de terrain garde son aspect essentiel, avec une construction qui débloque plus facilement la situation que les sempiternels dribles à la brésilienne.

Des progrès quasiment partout, oui, mais aussi des lacunes, toujours. Ainsi, si les frappes gardent un aspect jouissif, car aussi franches que lourdes, elles soulignent les errances d’un gardien pas toujours irréprochable, notamment sur les fameuses frappes enroulées. Il y a quelques choses dans ce PES de mécanique, qui fait qu’après quelques matchs, on a l’impression, pas forcément désagréable, de manquer d’aléatoire de reproduire les mêmes actions.

Du côté des modes, Konami à essayer de relancer sa Master Légué, vieillissante mais on regrette que toutes les compétitions n’ai pas subit le même coup de jeune. La gestion tactique et des effectifs s’effectuent toujours via ce système un peu lourd, utilisant =désormais du glisser-déposer pour faire bouger la position de joueurs. Pratique sur ce plan, et seulement sur ce plan. Côté licences et sons, c’est toujours aussi triste : voir un match de Premier League avec deux équipes sans vrais om ni vrais maillots, commenté par un Darren Tulett et un Grégoire Margotton insupportables de répétitivité et d’approximations (à cause des scripts impos »s par le jeu), ça fatigue. Mais, tous ces défauts nous rappellent aussi l’époque d’un PES roi, où l’on pardonnait tout pour l'amour du beau jeu. Après quelques actions de classe, la découverte d'animations étonnantes de réalisme et d'à-propos, on enchaîne les matchs jusqu'au bout de la nuit, comme lorsque PES animait seul les soirées pizza-foot. Cette année, on peut l’affirmer : PES est bien revenu, même s’il lui reste beaucoup à faire pour tacler un Fifa au budget et aux ambitions sans égal.


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Logitech vise le haut de gamme avec la retouche de son modèle G27 et atteint largement sa cible. Lors de l’installation, nous sommes d’emblée rassurés par le poids du produit, les fixations solides, les finitions cuir et les palettes en aluminium. L’ensemble donne une impression de solidité autant sur les matières utilisées que sur leur capacité à résister à mes assauts. Je l’ai testé sur PlayStation 4 avec Drive Club et Project Cars. L’un des points positifs est qu’il ne fait pas plus d’une seconde pour qu’il soit reconnu par la machine et prêt pour la première couse. De l’excellent plug and play, ce qui est loin d’être le cas !

Enfin, sur une poste, les sensations sont immédiates. Le pédalier oppose une résistance différente sur les pédales de frein, d’accélération et d’embrayage et on peut appuyer franchement sans tout faire reculer de 10 centimètres. Le volant offre une telle précision que les trajectoires s’effectuent au millimètre. En somme, il ne manque que le casque et la peur de se briser tous les os au premier virage pour vivre la course à fond. Le retour de force, laissé à 100% de ses capacités lors de nos essais, nous a semblé un peu brutal, mais, là encore ; Logitech a fait du bon travail tant il fait ressentir les aspérités de la route et la parte d’adhérence du véhicule. Un excellent produit !

Le prix est de 399€


Les + : D’excellentes sensations de course, un produits solide et bien conçu, réellement plug & play, compatible PS4, PS3, PC.


Les - : Pas facile à installer sur la table basse du salon, et un siège baquet coute cher et prend de la place. Le levier de vitesse en option est à 60€.



Donc voilà c’est la fin de ce topic, j’espère qu’il vous aura plus et moi je vous dis à la prochaine, gros bisous :hug:
Très bonne rédaction Noa, tu mérites même la récompense :ok:
Le G29 me tente trop en vrai :bave:
Far Cry Primal, j'ai hâte d'avoir+ d'info' sur le jeu :D
 

Romain'

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Jolie topic! Je ne vois pas les images mais je pense que c'est à cause de ma 4g américaine bas débit :|
 
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