GTRSV
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On se souvient de la mission historique dénommée "Apollo 11" au cours de laquelle des astronautes se sont embarqués pour un périple de 400 km vers la lune.
Au moyen d'un impressionnant déploiement médiatique et logistique, il a été démontré que pour la première fois, l'Homme a marché sur la lune, après 8 jours de voyage.
Mais, cet événement analysé comme un grand bond pour l'humanité, est soupçonné d'être un des plus gros mensonges jamais diffusés.
L'assertion selon laquelle "L'Homme n'a jamais marché sur la lune" est désormais partagée par plusieurs Américains, environ 1/5 de la population selon certains sondages. Comment en est-on arrivé à une pareille affirmation ?
Divers problèmes survenus dans les années 60 et plusieurs indices alimentent les doutes de nombreux experts parmi lesquels Bill Kaysing, ayant exercé comme ingénieur et analyste au sein de l'entreprise qui a mis au point les fusées Apollo.
Les doutes de Bill KaysingAu moyen d'un impressionnant déploiement médiatique et logistique, il a été démontré que pour la première fois, l'Homme a marché sur la lune, après 8 jours de voyage.
Mais, cet événement analysé comme un grand bond pour l'humanité, est soupçonné d'être un des plus gros mensonges jamais diffusés.
L'assertion selon laquelle "L'Homme n'a jamais marché sur la lune" est désormais partagée par plusieurs Américains, environ 1/5 de la population selon certains sondages. Comment en est-on arrivé à une pareille affirmation ?
Divers problèmes survenus dans les années 60 et plusieurs indices alimentent les doutes de nombreux experts parmi lesquels Bill Kaysing, ayant exercé comme ingénieur et analyste au sein de l'entreprise qui a mis au point les fusées Apollo.
Le voyage prétendument effectué sur la lune est apparu "énorme" à Kaysing. Il confie avoir su "intuitivement qu'il s'agissait d'une fausseté. Ses soupçons sont renforcés par des invraisemblances découvertes grâce à l'étude qu'il a pu faire des images largement diffusées. Lucarne sur 3 imprécisions que peut comprendre même un non scientifique.
1-Le drapeau américain flottant dans un espace sans air
L'atmosphère lunaire ne contient pas d'air, et pourtant le drapeau américain y flottait comme dans un espace venté.
Un pas posé sur la lune a laissé une empreinte profonde dont la photographie reste emblématique. Mais, l'engin à bord duquel se trouvaient les astronautes, n'a pas laissé de traces de la dimension d'un cratère, la puissance de ses réacteurs. Il y a eu en tout 6 alunissages et aucun d'eux n'a laissé le moindre cratère.
L'explication selon laquelle la capsule aurait soulevé tellement de poussière pour ne pas créer de cratères visible, ne tient pas. On aurait pu voir de la poussière aux pieds de l'engin ! Mais dans l'expédition Apollo, il n'y a rien.
Sur les photographies issues de la mission Apolo, on constate que les ombres prennent plusieurs directions. Ce qui ne devrait pas être le cas puisque la seule source de lumière était le soleil. Les appareils photo n'avaient pas le moindre flash, selon leur concepteur, La multiplicité des ombres serait-elle liée à l'utilisation de projecteurs comme dans un studio de cinéma ?
Capsule lunaire difficilement maîtrisable même en environnement connu
Quelques mois avant le "périple lunaire", Neil Armstrong a échoué au cours d'un essai de la capsule lunaire. A 100 m d'altitude, il perd le contrôle de l'engin et doit sa vie à son éjection quelques minutes avant la chute et l'explosion de ce dernier.
Site militaire gardé secret (et toujours interdit d'accès), l'Aire 51 a été photographiée par un satellite espion de la Russie. Localisée au Nevada, Aire 51 dispose de hangars ayant l'aspect de studios de cinéma.
De plus, le sol de ce site ressemble à s'y méprendre à celui du sol lunaire qu'on observe bien sur les images de l'odyssée lunaire.
Au moment où la guerre froide battait son plein, "être le premier à fouler l'espace lunaire" a été perçu comme un moyen de donner un message fort à la nation rivale de l'époque, l'URSS.
Ce montage aura permis aux États-Unis d'afficher leur hégémonie dans la conquête spatiale et d'éviter que le tenant du bloc rival installe une base de lancement nucléaire.
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