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Ce matin, le président de la République échangeait avec les salariés de Showroom privé, avec une retransmission en streaming. L'exercice a rapidement dérapé.
Après Serge Aurier, François Hollande...Le président de la République vient en effet de faire les frais de l'application vidéo Periscope, qui avait généré un scandale au sein du PSG ces derniers jours.
C'est précisément cette application, très populaire, qu'avait choisie ce matin le service de communication de l'Élysée pour diffuser des échanges entre François Hollande et les salariés de l'entreprise ShowroomPrivé.
A l'Elysée, on explique d'ailleurs au Figaro: «Nous utilisons Periscope depuis plusieurs mois. Nous assumons ce choix».
Le hic: au fil des échanges, par ailleurs courtois, entre le président et les salariés de ShowromPrivé, défilaient à l'écran une flopée d'insanités et de commentaires injurieux dans un langage pour le moins fleuri.
Ce n'est qu'au bout d'une demi-heure que l'Élysée a décidé, après avoir tenté de modérer les commentaires, mais a posteriori, de couper la retransmission en direct des échanges.
A l'Élysée, on souligne qu'«on ne peut pas modérer a priori, on le fait donc a posteriori. Modérer c'est enlever les insultes pures et simples et laisser le reste des commentaires s'ils sont désagréables». Quant à la déclaration du président à la fin de la visite chez Showroomprivé, elle a été diffusée...sur le site de l'Elysée.
Après Serge Aurier, François Hollande...Le président de la République vient en effet de faire les frais de l'application vidéo Periscope, qui avait généré un scandale au sein du PSG ces derniers jours.
C'est précisément cette application, très populaire, qu'avait choisie ce matin le service de communication de l'Élysée pour diffuser des échanges entre François Hollande et les salariés de l'entreprise ShowroomPrivé.
A l'Elysée, on explique d'ailleurs au Figaro: «Nous utilisons Periscope depuis plusieurs mois. Nous assumons ce choix».
Le hic: au fil des échanges, par ailleurs courtois, entre le président et les salariés de ShowromPrivé, défilaient à l'écran une flopée d'insanités et de commentaires injurieux dans un langage pour le moins fleuri.
Ce n'est qu'au bout d'une demi-heure que l'Élysée a décidé, après avoir tenté de modérer les commentaires, mais a posteriori, de couper la retransmission en direct des échanges.
A l'Élysée, on souligne qu'«on ne peut pas modérer a priori, on le fait donc a posteriori. Modérer c'est enlever les insultes pures et simples et laisser le reste des commentaires s'ils sont désagréables». Quant à la déclaration du président à la fin de la visite chez Showroomprivé, elle a été diffusée...sur le site de l'Elysée.
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